S’appuyait-elle sur ses lauriers ou sur la rose ? Et rose, qu’a-t-elle imaginé ? S’était-elle contentée de réchauffer ses crises antérieures ou poussait-elle ses obsessions, le plus loin possible ? Dans un poème au titre évocateur « J’avais rêvé de toi Monte Carlo », Janine Tavernier a réinventé, sur la route de Monte Carlo, un instant présent, une cure d’éternité.